
1er Forum de la
mer, Marseille

Elie
Boissin aime la mer laquelle le lui rend bien en lui offrant
toutes sortes de grâces qui peuplent ses livres… Il a été plongeur libre,
amateur, militaire, professionnel et apnéiste -l’un des premiers champions-.
Depuis toujours il écrit des poèmes, des livres sur la plongée, des romans,
il est également peintre de marines et aurait été peintre de la Marine du
temps de la voile.
Ce qui l’a conduit cette année à
créer avec le soutien de Leclerc-Sormiou
(Marseille) et de ses amis ce 1er Forum de
la mer qui réunissait musée, collectionneurs, associations,
institutions, écrivains, chercheurs et conférenciers.
L’association
Musée Frédéric-Dumas qui possède et gère les collections du
musée de l’histoire de la plongée autonome à Sanary était présente sur
un stand et en prêtant le Scubster et le Chevalier de Beauve aux amis du
SAGA. Notre photographe, Bernard Laire présent le samedi nous rapporte nombre
de photos dont voici quelques unes.

Il
faut saluer cette initiative: ouvrir un espace culturel sans contrainte et
bien équipé et accessible au « grand public ».

Vue
d’ensemble de l’espace culturel dédié au 1er Forum de la mer

Le
pieds-lourds (russe) acheté en son temps à Daniel Boudot. Le Scubster offert
par Stéphane Rousson. Coll. du musée Frédéric-Dumas.

Ce
samedi c’est Daniel Alsters et Bernard Laire qui « tiennent » le
stand; les jours précédents ce furent Juliette et François Tilquin.

L’un
des mannequins montés par Philippe Jamault. Une meilleure façon de montrer le
matériel issu des collections du musée. Par rapport à celui des années 45-50
il est déjà chargé, mais aujourd’hui, les plongeurs sont des sherpas.

Belle
scénographie pour ce forum. Le Chevalier de Beauve attend son tour pour le
« tire-sous ».
Voici les autres stands du forum:







Conférences, public et
conférenciers (du samedi):










Quelques portraits…






Non Elie je n’oublie pas!
Il y a bien des années, à Marseille
près de l’ancien bassin des galères, une étudiante se demandait devant les
peintures marines d’Elie Boissin de quel musée provenaient-elles? Je lui ai
alors proposé d’aller rencontré le « gardien » du musée. Ce qui
était risqué pour elle lorsqu’on connaît notre Elie charmeur. C’est assez
dire la qualité des œuvres, mais ce ne sont pas des copies, chacune raconte
une histoire vraie (à la Boissin) marseillaise et notre peintre renouvelle le
style, de la création vraie donc.




Nous te souhaitons
simplement un second forum de la mer.
Reportage photographique
Bernard LAIRE,
choix, mise en page et
textes Hervé MONJOIN.
|