Présentation des nouveautés informatiques du musée Frédéric-Dumas par François Tilquin (Avril 2017) Depuis un an et demi, le musée s’est modernisé en mettant
ses bases de données sur le web, et en instaurant des QR-codes permettant aux
visiteurs d’avoir des informations supplémentaires sur les objets grâce à des
liens internet, et un accès wifi libre. Les scans peuvent se faire à partir
du smart-phone du visiteur, ou d’une tablette mise à sa disposition. Les logiciels libres pouvant être utilisés pour lire les
QR-codes sont les suivants :
Tous les QR-codes de cette page sont actifs… 1-
La tablette : Le musée a acquis une tablette destinée à être
utilisée par les visiteurs, afin de scanner les différents QR-codes présents dans le musée, et d’accéder à
des informations supplémentaires. Il faut noter que ces informations sont
accessibles également à partir des smart-phones des utilisateurs, grâce à un
wifi gratuit. 2-
Les bases de données sur le site : Sur le site du musée, dans la rubrique « Collections », on
trouve « Les objets » et « Les livres ». Puis un moteur de recherche permet de sélectionner les objets ou les
livres recherchés.
Sur certaines images agrandies des objets il y a des boutons qui
donnent accès à des informations supplémentaires ou qui orientent vers des
pages web ou des vidéos.
Il faut saluer le travail important de Marie-Christine Williams pour
le récolement et la saisie des 1611 livres et documents, et de Daniel Alsters
et Bernard Laire qui ont inventorié les 2047 objets. 3-
Les cartels dans le musée : Ce sont les petits cartons sur lesquels on trouve un petit texte, une
photo et un QR-code. On peut scanner le QR code avec une application libre telle que QR-droid
ou QR-reader qui sont libres et téléchargeables à partir de Play store
ou Apple store présents sur les smartphones. Vous pouvez faire le test sur les 3 documents ci-dessous:
Si les objets sont exposés dans un lieu dans lequel il n'y a pas de
connexion Internet, le système fonctionne grâce à des cartels qui se
connectent à un ordinateur installé dans la salle et relié à un émetteur
WIFI. Les cartels ne sont pas créés un par un, mais grâce à un logiciel
maison qui compose les cartels automatiquement à partir de la base de données
des objets. Ceux-ci sont ensuite imprimés puis collés sur des petits
chevalets à inclinaison variable, taillés dans du plastique alvéolaire. François
souligne que ces cartels, et ces QR-codes enrichissent les collections
présentées au musée, et offrent au visiteur plusieurs niveaux de
documentation sur les objets. Le
visiteur reste libre de son parcours, et de l’approfondissement des
connaissances qu’il veut obtenir.
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